Nos adhérents présents à la réunion du 4 décembre 2018 à la Maison du Tourisme s’en souviennent : M. Mongaburu aidé par une salle bourrée de militants avait réfuté que la vitesse et la concentration de vélos puissent être un problème cours Lafontaine, où se situe l’entrée du lycée Champollion (1900 élèves) ! Soudainement : Chronovélo n’était pas rapide, c’était pour la sécurité, celle des cyclistes, et sans problèmes pour les piétons !
Les Unions de Quartier n’avaient donc aucune raison de dire que les autoroutes à vélos n’ont pas leur place en centre-ville et il fallait oublier que la TAG (président M. Mongaburu) disait en 2016 « Chrono : je suis rapide ».
Tout comme était frappé d’amnésie le fait que le terme « autoroutes à vélos » provenait de la « Délibération cadre relative à la politique cyclable de Grenoble-AlpesMétropole » (rapporteur M. Mongaburu) du 19 décembre 2014. Des autoroutes lentes ?
Non, bien évidemment. Et c’est lors du passage de M6 à Grenoble que la vérité a refait surface.