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De la « culture » à la « souillure » partout dans Grenoble, jusqu’à la violence

Il y a des tags absolument partout dans Grenoble et ils vont désormais jusqu’à l’ultra violence, même sur des écoles.

Une « tribune libre » de l’UHCV, publiée le 20 mai 2024 sur le journal Place Gre’net, donne à la connaissance de tous la synthèse du travail patiemment réalisé à l’union de quartier depuis plusieurs années sur ce problème, omniprésent dans Grenoble en général et au Centre-Ville en particulier.

Elle a aussi été communiquée à tous les élus et aux média.

Elle est disponible à la lecture via ce lien : https://www.placegrenet.fr/2024/05/20/tribune-libre-de-la-culture-du-tag-a-la-souillure-partout-dans-grenoble-jusqua-la-violence/629525

Au-delà du constat posé, elle apporte six propositions très simples et concrètes pour stopper cette spirale. Oui c’est possible, il n’y a pas de fatalité.

Holow, acteur du street art le jour et vandale du « AS crew » la nuit

Sur le lycée Stendhal : Église en feu et ACAB, AntifA, Contre la loi Darmanin soulève-toi

Publications antérieures de l’UHCV sur ce même sujet :

2023 : Une ville sans tags, c’est possible

2022 : La « pollution visuelle » des tags : notre demande au Maire de Grenoble

2022 : Paroles d’habitants à la réunion publique du Centre Ville

2022 : La « Zone Zéro Tag » (?)

2021 : Entretien de la place Victor Hugo

2020 : Nettoyer les tags pendant le confinement                                                                        

2016 : Notre proposition de plan fresques apaisantes

Complément d’information :

Nous avons appris le 25 mai, quelques jours après la parution de notre tribune, l’annulation du « tournoi de graffiti en live » … dont la mairie de Grenoble faisait la publicité via son magazine Gre.mag !!!

C’est en fait la totalité de l’événement « BOMB » qui a été supprimé, alors qu’il était prévu depuis plusieurs mois pour ouvrir, jour et nuit pendant 48h, le 10ème anniversaire de la « street art fest ». Son organisateur a annoncé en dernière minute que « des facteurs imprévus et incontrôlables nous obligent à prendre cette décision difficile », « en raison de circonstances indépendantes de notre volonté » et a ensuite déclaré à la presse avoir des difficultés de trésorerie.